Il prend sa retraite à 40 ans pour vivre dans une cabane de 32 mètres carrés
22 avril 2022 0 Par evelyse vignardetJérémy Leclercq, patron vendéen de 40 ans, a pris sa retraite pour remplir le vœu qu’il s’était fait à 18 ans d’arrêter de travailler à l’âge de 18 ans.
C’est une promesse de tenir un engagement. Celui que Jérémy Leclercq a gardé est celui qu’il s’est fait lorsqu’il a passé les rênes de sa société “Isolement Sablaise” pour faire une pause à l’occasion de ses 40 ans, comme le rapporte le site Actu.fr. Sur le marché du travail dès l’âge de 13 ans, l’entrepreneur s’était engagé dans les cinq années suivantes à ne pas travailler jusqu’à l’âge où la plupart des gens cessent généralement de travailler.
Dès son plus jeune âge, Jeremy sait qu’il est attiré par le travail manuel et devient autonome. A 13 ans, ce jeune homme des Sables-d’Olonne qui n’aimait pas l’école débute sa carrière comme ouvrier dans l’entreprise de son père. Sa carrière prend une nouvelle direction après avoir perdu un doigt lors d’un accident quelques années plus tard. Il devient plus tard un représentant commercial pour la même entreprise. Puis, en 2009, il accéléra le processus en créant sa propre entreprise mais il déchanta rapidement.
L’inexpérience en comptabilité ainsi que la crise financière de 2012 et les mauvaises embauches ont conduit l’entreprise à liquider en 2014. Cela n’a pas du tout dissuadé Jeremy.
Une deuxième entreprise ainsi que le déclencheur du Covid-19
Malgré ses difficultés financières et ses charges financières, le Vendéen a rapidement créé une nouvelle entreprise baptisée “Isolement Sablaise” qui a connu un premier succès avant le début de l’épidémie de Covid-19. À ce stade et dans cette situation unique que nous avons tous vécue dans le passé, cela rappelle à Jeremy les promesses qu’il s’est tenues. Il décide de céder lentement les rênes de son entreprise afin de prendre sa retraite. “J’ai toujours été un travailleur à 300 %. En un an et demi, j’ai dû prendre quatre week-ends de repos”, raconte-t-il à nos confrères.
Mais le néo-quarquagénaire ne risque pas de s’installer dans une villa tentaculaire près de la mer Méditerranée. Il a construit un domaine de 32 mètres carrés construit selon ses propres spécifications dans l’arrière-pays vendéen. Il espère devenir autonome grâce à du matériel adaptable et un jardin. Il est important de noter cependant que même dans le cas où il déciderait de se débarrasser de son téléphone portable et de son ordinateur portable, il s’offrait la possibilité d’avoir une “belle automobile” avant de quitter son bureau. De plus, il détient des biens immobiliers pour couvrir ses factures et générer des revenus.