Brigitte Bardot éloignée de ses arrière-petits-enfants : “Je les vois rarement…”

À la une du hors-série de Paris Match, Brigitte Bardot a accepté de se confier à Christian Brincourt, son ami de longue date. Celui qui la connaît intimement se permet de poser des questions personnelles, notamment sur son fils et ses arrière-petits-enfants, qui sont toujours restés à l’abri des projecteurs.

Les familles de célébrités ne sont pas comme les autres. Brigitte Bardot le sait mieux que quiconque. Dans une interview accordée au réalisateur Christian Brincourt pour le numéro hors-série de Paris Match, en kiosques à partir de ce vendredi 28 juin, l’ancienne actrice, qui approche des 90 ans, se remémore les grands moments de sa carrière et ses amours passées, et accepte de dire quelques mots sur ses arrière-petits-enfants, nés de ses petites-filles Théa et Anna Charrier.

« On dit que l’une de tes petites-filles te ressemble au même âge. Te rends-tu compte que tu es même arrière-grand-mère ? » lui demande ainsi son ami de longue date dans l’interview. « Oui, je suis arrière-grand-mère de trois petits Norvégiens qui ne parlent pas le français et que je vois rarement », répond celle qui n’a pas toujours eu de bonnes relations avec son fils unique, Nicolas-Jacques Charrier.

A lire également

Brigitte Bardot sans filtre sur ce qu’elle pense du climat politique en France

Concernant ce dernier, aujourd’hui âgé de 64 ans, BB évite toute question. « J’ai promis à Nicolas de ne jamais parler de lui dans mes interviews », rétorque-t-elle seulement lorsque son interlocuteur lui rappelle son accouchement en janvier 1960, dans le salon de son appartement de l’avenue Paul Doumer à Paris.

« Tu l’as vécu ‘comme un drame’, diras-tu [en parlant de la naissance de son fils, ndlr]. (…) Vous êtes-vous retrouvés, aimés, protégés ? » lui demande Christian Brincourt. Nous n’aurons manifestement jamais la réponse

Brigitte Bardot et son fils Nicolas : l’histoire d’une maternité non-désirée

Dans la série Bardot, diffusée sur France 2 en 2023, un épisode revient sur sa grossesse non désirée en 1959. L’actrice de 25 ans vient alors d’épouser Jacques Charrier, rencontré quelques mois plus tôt sur le tournage de Babette s’en va-t-en guerre.

Ce dernier souhaite plus que tout devenir père, tandis que sa célèbre épouse sait depuis longtemps qu’elle ne veut pas d’enfant. Tombée enceinte de Roger Vadim par le passé, elle a avorté deux fois. Mais la pression exercée par son mari, ses parents et la société la convainc que cette fois-ci, elle ne pourra pas échapper à la maternité. Pendant ces “neuf mois de cauchemar”, la propriétaire de La Madrague reste cloîtrée chez elle, ne souhaitant pas partager “l’heureux événement”.

A lire aussi

Brigitte Bardot sans filtre sur ce qu’elle pense du climat politique en France

Cela n’empêche pas la presse à scandale de stationner devant son appartement parisien – comme le rappelle Christian Brincourt dans Match – guettant chacune de ses sorties imprévues.

Nicolas-Jacques Charrier voit le jour le 11 janvier 1960 et dès sa naissance, une séance photo est organisée chez la jeune maman. Assise sur son lit, vêtue d’une nuisette blanche, la star du film Et Dieu… créa la femme tente de sourire en caressant son nouveau-né. Cependant, le désir de pouponner est absent.

En 1996, l’actrice révèle dans ses mémoires, Initiales B.B., ses tourments les plus intimes, y compris les pensées qui l’ont traversée lorsqu’elle était enceinte, 36 ans auparavant. Un procès suivra les révélations de ce récit autobiographique poignant.

A voir

« Vous êtes le Poutine de la nature et des animaux, un destructeur sanguinaire méprisable et méprisé », lance Brigitte Bardot à Emmanuel Macron dans une lettre ouverte

Source :