Tour de France 2024: 11 vélos à 14.000 euros de l’équipe TotalEnergies volés dans la nuit
11 juillet 2024 Non Par evelyse vignardetTour de France 2024: Mauvaise surprise ce matin : onze vélos de l’équipe TotalEnergies ont été dérobés pendant la nuit de mercredi à jeudi, avant la 12e étape du Tour de France. Chaque vélo, d’une valeur d’environ 14 000 euros, a été volé malgré la présence d’une alarme qui a donné l’alerte.
Parmi les vélos volés se trouvent ceux d’Anthony Turgis et Thomas Gachignard. Turgis se retrouve sans vélo de rechange, ce qui pourrait poser problème pour ce puncheur, actuellement troisième dans la course au maillot vert et espérant participer à des échappées ce jeudi.
154.000 euros de préjudice au total
Les mécaniciens disposent de cadres de rechange et travaillent actuellement dessus, comptant également sur l’entraide des autres équipes. Des vélos vont être rapatriés de Vendée, où est basée l’équipe, et sont attendus pour ce jeudi ou vendredi. Une plainte a été déposée, et les gendarmes sont arrivés vers 9h.
Chaque vélo coûte environ 14 000 euros, ce qui représente un préjudice total de 154 000 euros. Des caisses à outils ont également été volées. “Ça fait partie du jeu, ça fait un peu chier mais ça ne perturbe pas les coureurs. On a du stock. C’est surtout embêtant pour les caisses à outils”, a commenté Jean-René Bernaudeau, manager de l’équipe vendéenne
En réponse à cet incident, les mécaniciens de l’équipe travaillent d’arrache-pied sur des cadres de rechange et espèrent recevoir du matériel supplémentaire en provenance de Vendée, où se trouve la base de l’équipe. Ce matériel est attendu pour ce jeudi ou vendredi. En attendant, l’équipe compte également sur le soutien et l’entraide des autres équipes présentes sur le Tour.
En plus des vélos, des caisses à outils ont également été dérobées, augmentant le préjudice financier. Au total, le vol représente une perte estimée à 154 000 euros. Une plainte a été déposée et les gendarmes sont arrivés sur place vers 9h pour mener l’enquête.
Jean-René Bernaudeau, le manager de l’équipe vendéenne, a réagi en déclarant : “Ça fait partie du jeu, ça fait un peu chier mais ça ne perturbe pas les coureurs. On a du stock. C’est surtout embêtant pour les caisses à outils.”