Ce retraité fait « expulser de force » sa locataire qui squattait son appartement depuis 1 an, « On n’en pouvait plus »

Ce retraité fait « expulser de force » sa locataire qui squattait son appartement depuis 1 an, « On n’en pouvait plus »

12 novembre 2022 1 Par evelyse vignardet

Ce retraité fait « expulser de force » sa locataire qui squattait son appartement depuis 1 an, « On n’en pouvait plus »

 

Juste au bon moment. C’est ce que le retraité aurait pu penser avec soulagement, quand l’homme a pu forcer son locataire à être enlevé. Elle vivait dans sa maison depuis plus d’une année entière.





Un propriétaire retraité d’une maison, a réussi à expulser après plusieurs mois de procédure le locataire qui ne payait pas de loyer.

 

Juste au bon moment. C’est sans doute ce que ce retraité s’est dit avec soulagement lorsqu’il a réussi à expulser de force son locataire. Elle vivait dans sa maison depuis plus d’un an.





ELLE RESTE DANS L’APPARTEMENT SANS PAYER SON LOYER

 

En décembre 2021, au moment où elle devait partir, elle pense rester. À partir de ce moment, il y aura un échange tendu entre les deux parties. Une nouvelle maison est offerte à la jeune femme, dans la même rue, et à moindre coût. La femme refuse.

 

Michel Fraisse a décidé de saisir la justice, et le tribunal de Cahors a tranché en sa faveur en avril. Mais, il n’y a aucun soulagement même pour ces huissiers “qui ont été expulsés”. La situation va empirer et le retraité pourrait être accusé d’agression.





IL A RÉUSSI À L’EXPULSER DE FORCE APRÈS 1 AN DE PROCÉDURES

Puis, quelques mois plus tard, les locataires ont cessé de payer leur loyer et ne recevaient plus aucune aide de la CAF. Pour les retraités, de longs mois de formalités vont bientôt suivre. Il est également au courant de la date redoutée du 1er novembre et du début de la trêve hivernale pendant laquelle les expulsions ne peuvent avoir lieu.

 

Le dénouement n’a finalement eu lieu que quelques jours plus tôt. Au mois d’octobre, à la fin l’expulsion est achevée grâce à l’aide de Mireille Larrède en tant que préfète. Cependant, Michel Fraisse garde un goût amer de la “victoire” qui lui a coûté la somme faramineuse de 17 500 $ en frais de justice. Il était soulagé mais il a dit : “On n’en pouvait plus”.