“Je veux que les retraités vivent mieux”, assure Emmanuel Macron sur TF1

“Je veux que les retraités vivent mieux”, assure Emmanuel Macron sur TF1

14 avril 2022 1 Par evelyse vignardet

Le président sortant était invité pour le compte de Gilles Bouleau et Anne-Claire Coudray le mercredi 13 avril 2022 sur TF1. Au JT de La première station, le candidat de La République en marche a défendu sa campagne. Voici les principaux points à retenir du discours d’Emmanuel Macron.



Il a démontrer sa politique sur l’immigration

Relancé par Gilles Bouleau sur le volet de “l’immigration clandestine“, l’un des axes principaux étant défendu par ses rivaux d’extrême droite au second tour. son adversaire LREM a déclaré qu’il entendait être acteur de la réforme de l’espace Schengen : “Cet espace doit être repensé, pas l’abandonner comme le suggèrent les extrêmes droites afin de lui donner les outils pour sécuriser ses frontières”. “En renforçant la coopération entre les gouvernements européens” et “en accélérant nos procédures” en matière de droit d’asile et de gestion des titres de séjour”, a-t-il ajouté. “Nous devons les ramener dans leur pays d’origine beaucoup plus rapidement”, a déclaré celui qui cherche à désigner son successeur.



Il est revenu sur l’épineuse question des retraites

Gilles Bouleau est ensuite revenu sur la question controversée des retraites. Le candidat “a ouvert la porte” pour passer brièvement en revue ses réformes controversées et a tenté d’apporter une certaine pédagogie “je veux que nous puissions continuer à financer le progrès social”, “pour que les retraités aient une vie meilleure”. Dès cet été, le candidat a annoncé qu’il allait chercher à “augmenter les pensions de 4%” en ajustant les pensions à l’inflation. Il a également déclaré qu’il souhaitait augmenter la pension minimum des retraités “qui ont une carrière complète” de 980 à 1 100 EUR par mois.



Pour “financer ce progrès social” Selon lui, c’est indispensable pour “travailler un peu plus longtemps” sans intention de “baisser le pouvoir d’achat des travailleurs en augmentant leurs cotisations”. Le concept “n’a jamais été de faire passer l’âge légal de 62 à 65 ans du jour au lendemain”, estime celui qui souhaite conserver un dispositif d’emploi de longue durée, et qui prend en considération “la pénibilité du métier”. L’âge légal sera modifié quatre fois par an. L’âge légal sera fixé à 65 ans en 2031.